Catégories : Diaper boy / Little boy Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem
il y a 5 ans
Lors de l’épisode 3 des gilets jaunes, mes convictions m’ont poussé à quitter mon confort pour les rejoindre. J’ai donc demandé à ma Maîtresse comme une faveur de me retirer ma cage de chasteté ce week-end là. Elle n’a rien voulu savoir. « Une punition est une punition, tu as pris une semaine de cage supplémentaire, assume » a été sa seule réponse.
Comme je m’étais engagé à rejoindre des copains, j’étais devant un conflit, non pas social mais personnel. Y aller et prendre le risque d’avoir des soucis, ne pas y aller et me faire traiter de dégonflé. Le souci de la cage de chasteté, une BON45 achetée sur ABCplaisir, c’est que pour faire pipi il faut s’asseoir. Ne pas le faire, c’est prendre le risque de mouiller son pantalon.
A ce problème de « position », s’ajoutait celui de prendre le risque d’être vu avec ma cage de chasteté. En effet, nous les mecs, on peut se soulager derrière un arbre ou une voiture sauf que là, avec des milliers de personnes autour de moi, pour la discrétion ...... Dépité, j’avais pris la décision de me faire porter pâle le vendredi, ainsi les copains me croiraient réellement malade.
Sauf que, avec mon salaire de misère, perdre une journée de travail risquait d’irriter sérieusement mon banquier et de créer un conflit social entre lui et moi. Sur ce coup là, aller manifester devant la banque n’aurait rien changé. Que faire ?
La solution m’a sauté aux yeux lors d’un de mes surfs sur Fessestivites en matant des photos. Il y a des soumis qui, sous cage de chasteté, mettent aussi des couches. Ce sont parfois leurs nurses qui imposent le dispositif de chasteté à leur « bébé » sous prétexte, qu’un bébé cela ne se masturbe pas. Je monte donc sur [Abkingdom)(https://abkingdom.com/), un site dédiée aux ABDL pour collecter des informations pratiques.
J’ai donc passé une soirée entière à lire les forums, puis étudier dans la rubrique shopping les marques de couche. Il m’en fallait une qui ait une grande contenance tout en étant discrète. Après m’être brûlé les yeux sur l’écran pendant des heures, le souci des délais de livraison se sont posés. Nous étions mardi soir, il fallait à tout prix que je les ai avant le vendredi pour faire les tests. Sauf que, avec les barrages « des gilets jaunes » si la livraison était perturbée, je l’avais dans le ... l’os pardon. Les seules solutions pour être sûr de moi étaient donc la pharmacie ou le supermarché.
Le mercredi soir après ma journée de travail, la queue encagée entre les jambes, me voilà donc parti au supermarché plutôt qu’à la pharmacie pour cause de finances dépressives. J’ai bien failli abandonner l’idée de rejoindre les copains deux douzaines de fois. Dans le rayon et lors de mon passage en caisse, j’étais blême. C’était comme si tout le monde me regardait alors que je ne portais pas encore de couche. Et, comme il n’y a plus de sacs en plastique, j’avais prévu un sac à dos pour le retour.
J’ai eu l’air c.... le paquet de couche n’est pas rentré dedans, même si, j’ai pu m’y dissimuler tant j’avais honte. Juste avant de prendre le métro, j’ai bien failli baisser les bras, tant le courage me manquait. Finalement, je suis rentré à pieds sous la pluie ! Celui qui me dit que les soumis n’ont pas de c.... courage, je lui fais bouffer mes couches ! (Usagées faut pas déconner, je les ai payées en raclant les fonds de tiroir comme l’on dit).
Arrivé à la maison, pressé de les essayer pour voir si elle allait se voir, j’en ai mis une de suite. Ce n’est pas facile quand on n’a jamais mis ce truc. Une fois devant la glace, je me suis dit que finalement, avec mon pantalon de survêtement, cela devait passer inaperçu. J’étais sauvé.
De retour sur Abkingdom, je suis allé voir si certains avaient des astuces pour que cela ne se voit pas. Un body semblerait être une solution sauf que je n’avais plus de sous et que cette idée ne me séduisait pas du tout. Mon premier pipi couche fut très compliqué à faire. Même si je fais des trucs un peu fous comme du selfbondage, là, j’étais bloqué. Bloqué comme si j’avais honte et peur que l’on me voit volets fermés. Deux bières plus tard, j’avais la vessie prête à exploser et .... toujours impossible de la libérer. J’ai même essayé de me mettre un vibro sur la couche, en vain, à part faire « « criser » » Popaul dans sa BON45, je n’y arrivais pas. Il fallait à tout prix que je me débloque.
Ayant toujours un jeu de clé des menottes d’ABCplaisir et de mes cadenas au congélateur, j’ai donc décidé d’employer les grands moyens solitaires. J’ai sorti les chaînes, mes menottes et je me suis mis nu avec la couche comme seul vêtement. Pour trouver le courage, je me suis descendu une autre bière avant d’enchaîner mes chevilles que j’ai verrouillées sans tarder. J’ai mis la petite chaîne à ma taille que j’ai cadenassée, puis j’ai fixé le bout restant à mes chevilles pour me faire un Hogtied. Avant de changer d’avis, j’ai bloqué mes menottes dans les chaînes et j’ai entravé mes poignets. Si en temps normal j’aime me faire des plans de ce type, présentement, ce soir là le plan manquait de charme.
Le froid a fait cause commune avec les bières pour me martyriser. Et pour cause, je ne chauffe presque plus pour cause de pénurie de trésorerie. C’est donc en rampant comme un vers le glaçon emprisonnant les clés que j’ai eu une première fuite. Lorsque j’ai mis mes doigts dans le bol d’eau glacée, et retrouvé un glaçon à peine fondu, j’ai fini par craquer et ouvrir les vannes de la honte. Humm c’était chaud ça au moins.
Dix minutes plus tard, le glaçon sympathique m’a rendu les clés et j’ai pu me libérer. Le souci a été qu’en me levant, j’ai du rattraper la couche qui se faisait « la malle ». ce qui m’a fait plaisir, c’est qu’il n’y avait pas d’urine par terre malgré mon gigantesque abandon fasse à ma vessie en colère. Ce premier conflit social interne résolu, le syndicat moral a baissé les bras, j’en ai remis une autre pour affiner les réglages et recommencer pour « mieux voir » les sensations. Finalement, j’ai aimé la sensation du pipi couche et j’ai même dormi avec après avoir mangé une boite de petits pois.
Rassuré et après une autre tentative avec, en prime, une courageuse balade en ville avec une couche (vers 23 heures...) j’ai confirmé ma venue à la manifestation du samedi.
L’ERREUR FATALE
Dans mon sac à dos, je m’étais pris un saucisson et un morceau de gruyère avec une baguette de pain. Jusque là rien de gênant me diriez-vous, sauf que pour couper le saucisson j’avais pris mon petit cran d’arrêt. Il n’a rien d’une arme et il n’est pas plus gros qu’un petit opinel. Au fond de mon sac à dos, j’avais enroulé une couche de plus dans une serviette au cas où, j’aurais des fuites et la possibilité de trouver un endroit pour me changer. Une bouteille d’eau en plastique est venue compléter mon pique-nique.
A 9 heures j’étais au rendez-vous avec ma couche dissimulée sous mon pantalon de survêtement et un énorme pull-over qui descend bien dans le dos. Après les bises d’usage, nous voilà partis en métro pour sortir trois stations avant les Champs Elysées. A la sortie du métro, il y avait .... des bleus armés jusqu’aux dents. Tranquille, peinard, j’ouvre mon sac à dos en leur disant « pouvez fouiller les mecs, y a que d’la bouffe vue que les restos veulent pas de nous ».
Et là, trente secondes plus tard, j’avais le nez collé contre le mur, deux flics me fouillaient manu militari. Ma couche les a intrigué et sentir quelque chose de dur à l’intérieur encore plus. L’un d’eux s’est reculé d’un seul coup et a braqué son arme sur ma tempe en disant qu’au moindre geste j’étais mort.
- Tu caches quoi dans ton pantalon connard ?
Comprenant que c’était de ma cage de chasteté dont ils avaient peur, j’ai bien essayé de leur glisser doucement que c’était personnel. Essayez de demander de la discrétion à des flics, c’est inutile. Ils ne connaissent pas le mot. C’est vraiment un mot nouveau pour eux. Même si j’avais des envies de les fracasser, un flingue braqué sur soi, cela calme et motive pour donner des réponses claires. Par chance, mes copains étaient eux aussi malmenés par les bleus et n’ont pas entendu ma réponse. Le flic n’a pas hésité et m’a carrément palpé l’entrejambe à travers la couche.
Le flic brandissant mon cran d’arrêt m’a allumé grave, ses deux potos en costume m’ont embarqué comme si j’étais un terroriste. C’est à peine si j’avais les pieds qui touchaient par terre. Et là, dans le camion grillagé, je me suis fait un plaisir énorme : j’ai pissé dans un camion de flics. Il doit pas y en avoir beaucoup sur ABK qui peuvent se vanter de ça LOL. Bon, d’accord, j’étais quand même dans mes petits souliers, des baskets en l’occurrence.
Arrivé au poulailler, j’ai été conduit dans un bureau sinistre où il m’a été clairement indiqué que j’étais en garde à vue. Le flic m’a proposé pour gagner du temps de lui faire voir ce que j’avais dans mon pantalon. Comment dire.... ? Comment dire que j’étais gêné ? Pour éviter de gros soucis et la visite médicale sous contrainte physique, j’ai accepté. Ils avaient la main sur leur arme quand j’ai ouvert mon pantalon pour leur faire voir ma cage de chasteté dans une couche.
Rassurés et amusés, ils ont repris leur procédure : prénom du père, prénom de la mère et patati et patata...... Dans son procès verbal, mentionnant ma triste condition, j’ai tenu à ce qu’il indique que j’avais bien un saucisson et que sans un couteau, je n’aurai jamais pu le couper. Il en a convenu et l’a indiqué tout en me disant que je risquais d’être condamné. Après m’avoir fait retirer mes lacets, il m’a conduit dans une cellule où nous étions six.
L’HORREUR
Si la couche a tenu, et pour cause je n’ai plus osé boire. Dans l’après-midi, le flic est venu me chercher, m’a menotté avec des menottes même pas de chez ABCplaisir (MDR) pour m’emmener au tribunal pour une comparution immédiate. Le procureur a commencé par m’incendier avant de me donner la parole. Et là, pour limiter les dégâts, j’ai déballé toute la vérité, rien que la vérité.
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Monsieur le juge, je comprends que ma situation peut laisser à penser que j’étais venu pour me battre et être violent. Il n’en est rien. Si je porte une cage de chasteté qui n’est pas une arme, c’est parce que ma Maîtresse n’a pas voulu me l’enlever. Je ne peux le faire sans qu’elle me donne les clés, cela ne peut donc pas être une arme. (Rire du scribe, la nana qui tape sur son ordinateur). A cela se rajoute que le couteau que j’avais, n’était que pour couper le saucisson que j’avais dans mon sac et qui a été mentionné dans le procès verbal, indiquant son contenu.
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Et la couche ? A demandé le procureur amusé.
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Ben c’est parce que quand j’ai peur, j’ai des fuites urinaires. (Gros mensonge) Reconnaissez s’il vous plait que je n’ai pas le profil d’un casseur. Je suis innocent et surtout pas un criminel ou une personne agressive. C’était ma première manifestation.
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Bien, jeune homme, je vais vous charger d’une mission. Vous direz à votre Maîtresse que lorsqu’il y a une manifestation, elle vous garde avec elle et vous punisse pour de mauvaises intentions. Affaire suivante ! A indiqué le juge très amusé.
Le soir même j’étais libre, j’ai pu récupérer mon sac à dos et même la deuxième couche puis mon saucisson que j’ai mangé seul à la maison. Une semaine plus tard, j’avais un rappel à la loi sur la détention d’arme. OUF !
OUF mais les copains ont voulu savoir ce que j’avais dans le pantalon. Je leur ai indiqué de demander au juge.
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Ce texte est une fiction, je suis allé plusieurs fois manifester avec les gilets jaunes certes, mais pas à Paris et sans cage de chasteté ni couche.
TSM amusé qui a rebondi sur l’actualité et quelques fétichismes
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